Kirjalikud selgitused hääletuse kohta Pascale PIERA

J’ai voté pour cette résolution qui dénonce fermement les opérations militaires de l’Azerbaïdjan, les exactions du régime d’Aliev et les ingérences dans les affaires de certains de nos territoires. Elle critique également la dépendance de l’UE vis-à-vis du gaz azéri, une position que nous défendons de longue date. Soutenir l’Arménie face aux agressions et renforcer nos partenariats avec elle en matière de sécurité et de défense sont essentiels pour préserver la stabilité dans la région.

Je me suis abstenue sur cette résolution. Bien que je soutienne fermement le maintien du statu quo dans le détroit de Taïwan et condamne les manœuvres militaires de la Chine qui menacent la stabilité de la région, certaines propositions du texte risquent de créer des tensions inutiles. Les appels à des visites officielles du Parlement européen à Taïwan et le soutien à son intégration dans certaines organisations internationales pourraient, en effet, déstabiliser la situation actuelle.

Je vote contre le budget 2025 de l’UE en raison de ses lacunes dans la gestion des priorités financières. Ce budget alloue encore une part excessive aux politiques de migration, d’environnement et d’adhésion de nouveaux États, alors que des besoins cruciaux existent en agriculture et en sécurité des frontières. De plus, son manque de transparence, confirmé par les irrégularités relevées par la Cour des comptes européenne et les erreurs de prévision dans les budgets rectificatifs, montre une mauvaise anticipation des besoins réels. Ce budget va à l’encontre des urgences économiques et des intérêts du contribuable européen.

Je vote contre le budget 2025 de l’Union en raison de ses lacunes dans la gestion des priorités financières. Ce budget alloue encore une part excessive aux politiques de migration, d’environnement et d’adhésion de nouveaux États, alors que des besoins cruciaux existent dans les domaines de l’agriculture et de la sécurité des frontières. De plus, son manque de transparence, confirmé par les irrégularités relevées par la Cour des comptes européenne et par les erreurs de prévision dans les budgets rectificatifs, montre une mauvaise anticipation des besoins réels. Ce budget va à l’encontre des urgences économiques et des intérêts du contribuable européen.

Je m’oppose à l’immixtion du Conseil et de la Commission européenne dans les politiques sociales des États membres. En effet, ces institutions tentent de renforcer l’influence de l’Union européenne et cherchent à empiéter sur les compétences souveraines des États. Par ailleurs, on retrouve dans ces lignes directrices une politique pro-immigration et incluant des éléments du pacte vert, sans aucun lien direct avec l’emploi.
En cohérence avec notre ligne politique, j’ai voté contre ces orientations, défendant le respect des compétences nationales face aux pressions centralisatrices exercées par l’Union européenne.

Je me suis abstenue sur cette résolution. La sécurité des patients doit rester une priorité, mais l’excès de régulations européennes étouffe l’innovation et fragilise notre industrie de la santé, notamment pour les petites et moyennes entreprises, essentielles au secteur. Bien que cette résolution représente un premier pas vers l’assouplissement des normes, elle reste une avancée vers une centralisation bureaucratique excessive, éloignant davantage les spécificités propres à chaque État membre.

Je me suis abstenue sur le mécanisme d’assistance macrofinancière (AMF) à l’Ukraine. Bien que nous soutenions l’aide civile, les montants engagés par l’Europe sont énormes et soulèvent des questions dans le contexte économique actuel. Il est crucial de fixer des limites pour éviter un soutien sans fin, surtout en l'absence de perspectives de résolution du conflit. Mon abstention reflète donc une position prudente en attente de solutions durables pour l’Europe.

J’ai voté contre ce projet qui promeut l’augmentation des ressources propres de l’Union et reflète la volonté de Bruxelles de procéder à une centralisation budgétaire au détriment de l’autonomie financière des États membres.

Ce budget présente d’importantes faiblesses, notamment des erreurs de prévision des ressources propres qui entraînent une charge supplémentaire pour les États membres. De plus, les hausses de financement pour certaines agences, au détriment de certains programmes essentiels, et le manque de transparence dans la renégociation du contrat de l’EMA à Londres soulignent la nécessité de faire une révision plus rigoureuse du budget. C’est pourquoi j’ai voté contre ce projet de budget rectificatif.

En votant en faveur de cette mobilisation du FEM, j’apporte mon soutien aux travailleurs belges et je réitère ma volonté que la France puisse bénéficier de dispositifs similaires en cas de crise. Bien que la condition de promotion de l’agenda de diversité dans les formations puisse poser question, ce dispositif reste indispensable pour limiter l’impact social de telles restructurations.